Ainsi après avoir élaboré un questionnaire d’une trentaine de questions nous nous sommes tous retrouvé le samedi 31 octobre sur le site de la transat.
Revêtus de nos uniformes d’enquêteurs, généreusement offerts par la ville du Havre, nous étions prêts à harceler de questions les innocents promeneurs, d’où venaient-ils ? Reviendraient-ils ? Avaient-ils utilisé les toilettes sèches ? Nous allions tout savoir d’eux.
Malheureusement le climat trop humide de ce début novembre, en plus de rendre superflu l’ingénieux dispositif de nettoyage du site à l’eau de pluie, a raréfié le nombre de visiteur et rendus notre tache bien difficile. C’est ainsi que rêvant au Costa Rica, où les skippers semblaient pressés d’arriver, nous devions pourchasser les rares curieux que la pluie n’avant pas découragé. Cependant, à force de persévérance et grâce aux nombreux cafés gracieusement distribué par Jacques Vabre, nous avons atteint notre objectif d’une cinquantaine de questionnaires chacun et avons pu, après dépouillement des résultats, rendre compte de notre mission aux représentants de la ville du Havre.